Contenu et effets des injections anti-Covid, que sait-on réellement ?
J’ai reçu lundi 2 août dernier le Dr Astrid Stuckelberger pour ma 8ème émission Science en Conscience pour ReinfoCovid.Voici le lien de la vidéo (non censurable) sur CrowdBunker de l’émission :https://crowdbunker.com/v/U4gAdvog6aNous y avons évoqué plusieurs sujets hyper sensibles et controversés :
- Le contenu des injections expérimentales faussement dénommées « vaccins anti-Covid » par les autorités et dans le langage courant
- Les dangers potentiels de ces injections expérimentales
- Les manières possibles de se débarrasser de certains produits toxiques contenus dans ces injections expérimentales
Parmi les produits toxiques, non mentionnés dans la liste officielle des ingrédients de certaines des injections expérimentales anti-Covid, il y aurait des nanoparticules d’oxyde de graphène.J’écris cela au conditionnel car l’étude de Ricardo Delgado qui en parle n’a fait qu’une analyse sommaire (notamment au microscope électronique en transmission) d’un seul échantillon de l’injection expérimentale du laboratoire Pfizer.Cependant, cette hypothèse pose question…Comment ce produit toxique pourrait-il être présent dans ces injections expérimentales ? Et s’il est effectivement présent… dans quel but ?Sans qu’il y ait de preuve absolue, il paraît souhaitable que les personnes ayant reçu l’injection expérimentale (en particulier celle à ARN messager des labos Pfizer et ModeRNA mais peut-être que cela touche tous les labos ayant produit des injections expérimentales) cherchent à éliminer de leur corps ces substances potentiellement problématiques.La solution proposée par Ricardo Delgado, mentionnée par Astrid Stuckelberger avec quelques rajouts et modifications est la suivante :
- NAC (N-acétylcystéine), 750 mg le matin (acide aminé précurseur du glutathion, un anti-oxydant puissant)
- Suramine sous forme de complément alimentaire, ou directement via des infusions d’épines de pin sylvestre (fraîches cueillies directement sur l’arbre ou achetées dans le commerce – en fait, pin, épicéa et cèdre feraient l’affaire, attention pas d’épines d’if, toxique) ou en huile essentielle à inhaler. En tisane : 3 tasses par jour, compter 1 à 3 cuillères à soupe d’épines de pin par tasse, dans de l’eau à 80°C
- Zinc 50 mg, un des formes les plus assimilables est le bisglycinate de zinc.
- Astaxanthine 5mg
- Chardon-marie (plante riche en silymarine, pour le foie)
- Vitamine D
- Vitamine E
- Vitamine C en gros cachet de 500 mg (préférer la vitamine C d’origine naturelle)
- Zéolite
- Mélatonine le soir pour mieux dormir
- Sélénium
- Phycocyanine et spiruline (micro-algue)
Attention, je n’ai pas la posologie pour tous ces produits dans le cadre de cette tentative de nettoyer son organisme et je ne peux pas dire avec certitude que tout cela est efficace pour se débarrasser de toutes les substances problématiques de ces injections expérimentales.Voici aussi d’autres idées aussi qui me paraissent bonnes :
- On parle aussi d’huile de nigelle (cumin noir : 1 cuillère à café par jour le matin à jeun… pendant 3 mois
- Prendre du MMS (Mineral Miracle Supplement) = cf. méthode Jim Humble… mais encore un sujet hautement controversé ! Je pense que j’aurai l’occasion d’en parler à l’avenir.
- Cataplasme d'argile verte au point d'injection
- Ingestion de charbon ou d'argile (une cuillère à soupe dans un verre d'eau - voir les façons classiques d'ingérer du charbon ou de l'argile).
- Et bien sûr le surprenant "nettoyage du foie" que je recommande de manière générale pour un grand nombre de problématiques de santé, et me semble tout à fait approprié pour tenter de se débarrasser des produits toxiques (dont certains encore inconnus) contenus dans les injections expérimentales. Clique ici pour en savoir plus.
Dis-moi dans les commentaires si tu as testé tout ou partie des solutions proposées et si tu en ressens des bénéfices !